🎛️ Sous les beats, l’unisson des âmes

Auteur/autrice de la publication :MAxime
Publication publiée :9 juin 2025
Post category:L'art et la culture
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🎶 Ce week-end, la Place des Quinconces à Bordeaux s’est transformée en cathédrale électron avec le Brunch Electronik. Deux après-midis baignées de soleil, de sourires et de sons. L’ambiance ? Joyeuse, légère, vibrante. Un moment suspendu, où la musique a réuni les corps et les esprits.

🌟 Peggy Gou, solaire et magnétique, a électrisé la foule de son aura charismatique. Figure emblématique de la scène internationale, elle mêle rythmes house, techno berlinoise et énergie pop coréenne.

🌀 Gerd Janson, précis et inspiré, a livré un set ciselé aux profondeurs dansantes. Patron du label Running Back, il est reconnu pour ses sélections élégantes, entre house, italo et techno old-school.

🎩 Kölsch, envoûtant, a touché l’âme avec ses nappes mélodiques et ses crescendos vibrants. Ce producteur danois mêle émotion et puissance dans des sets techno cinématographiques et introspectifs.

☀️ Folamour, généreux et lumineux, a diffusé ses ondes feel-good comme une caresse rythmique. Le DJ lyonnais incarne une house joyeuse, infusée de disco et de groove solaire.

🌍 Et bien d’autres artistes aux univers singuliers, réunis par une passion commune : faire vibrer le monde.

🧡 Ce festival m’a rappelé une évidence : l’art est une langue universelle. Il dépasse les frontières, rassemble les cultures et tisse des liens inattendus. J’y ai croisé des visages connus, découvert des personnalités inspirantes avec des projets qui résonnent fort.

« La musique électronique est un langage universel. Elle connecte les gens sans avoir besoin de mots. » – Comme le dit si justement Charlotte de Witte

🏛️ Un grand bravo au Maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, et à mes collègues, Léa André et Dimitri Boutleux, élu.es à la Mairie de Bordeaux pour leur implication exemplaire dans l’accueil de ce festival en plein cœur de la ville.

Entre exigences techniques, respect des riverains, sécurité, propreté et soutien à la création, avec les services de la ville de Bordeaux, tout le monde a su trouver le juste équilibre pour faire de cet événement un moment de fête partagé, sans compromettre les usages du site.

Une démonstration que l’espace public peut vibrer au rythme de la culture, dans l’écoute et le dialogue.