đł Hier au Conseil MĂ©tropolitain, le hall de Bordeaux MĂ©tropole se transforme en espace sensible et prospectif. Deux expositions sây rĂ©pondent en Ă©cho, unies par un fil conducteur : notre lien aux milieux vivants.


đșïž Dâun cĂŽtĂ©, la grande maquette du Plan Paysage MĂ©tropolitain, livrĂ©e en 2025, fruit du travail des paysagistes Michel Pena et ZB Paysages. Avec ses courbes de niveau rehaussĂ©es, elle donne Ă voir la structure Ă©cologique de notre territoire. Chaque strate, chaque couleur, chaque couronne raconte une histoire de sol, dâeau, dâair et de lumiĂšre. Le zonage finement pensĂ© guide le choix des essences, rĂ©vĂ©lant une ambition claire : planter un million dâarbres en sâappuyant sur lâintelligence des lieux.



đ De lâautre, les photographies des agents et agentes de la mĂ©tropole et de la Ville de Bordeaux, collectĂ© dans le cadre du festival Traverse. Les fleuves Garonne et Dordogne sây dĂ©voilent dans leurs jeux de reflets, leurs clairs-obscurs saisonniers, leurs instants suspendus. Lâobjectif capte ce que la planification ne dit pas : lâĂ©motion, le mouvement, lâintimitĂ©.


đ«±đŒâđ«ČđŸ Ensemble, ces deux expositions nous rappellent que lâarbre comme le fleuve sont des Ă©lĂ©ments structurants de notre territoire, mais aussi des sources dâimaginaire et de reliance. Le premier ancre, le second relie. Tous deux dessinent un paysage en partage, Ă prĂ©server, Ă rĂȘver, Ă construire.
« Lâarbre et les riviĂšres sont les deux mains de la terre : lâun sâenracine, lâautre sâĂ©coule. Entre eux, notre avenir prend forme. »