
🌿 Le 30 avril, l’Assemblée nationale a vibré au rythme des rivières, des forêts et des lagunes. Un colloque d’une intensité rare, porté par Charles Fournier et des députées engagées, a donné voix aux territoires et aux entités naturelles qui, partout, réclament reconnaissance.
✨ L’intervention de Marie Toussaint, éclairée par l’étude qu’elle a commandée sur l’intégration des droits de la nature dans le droit européen, a dessiné des ponts entre l’activisme et l’institution. Elle montre que ce combat n’est plus marginal : il infuse les textes, les parlements, les consciences.
⚖️ De la Nouvelle Calédonie à la Martinique, du Lez à la Loire, les initiatives émergent avec une vitalité impressionnante. La présentation du Parlement de Loire, menée par Camille de Toledo, a dévoilé une démarche profondément démocratique : une proposition de loi rédigée collectivement par des citoyen·nes, pensée à trois échelles. Un geste politique, sensible et audacieux.

✍️ L’idée d’un cercle de réflexion de juristes pour les droits de la nature s’installe comme une évidence. Les interventions de Marie-Angèle Hermitte, Alexandre Zabalza et Marine Yzquierdo ont apporté clarté et profondeur à cette refondation du droit.

✨ En clôture, Lisa Belluco, Chantal Jourdan et Charles Fournier ont rappelé combien ce combat pour le vivant dépasse les clivages et s’inscrit dans une responsabilité collective.

🌬️ Un nouveau souffle traverse le droit. Il parle la langue du vivant, de la dignité partagée, de l’interdépendance.
« Gouverner, c’est prévoir ; et ne rien prévoir, c’est courir à sa perte. »
– maxime attribuée à Colbert, souvent reprise dans la tradition administrative française. Elle résonne fortement avec l’urgence écologique actuelle.
🗓️ Prochain rendez-vous le 14 mai à l’initiative parlementaire de Chantal Jourdan pour poursuivre cette avancée. Inscrivez vous, il reste des places pour suivre les échanges en visio !